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    "L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir".

    (Victor Hugo "Extrait de Moi, l'amour, la femme") 

     

     Élisabeth-Louise Vigée Le Brun, née Louise-Élisabeth Vigée

    le 16 avril 1755 à Paris,[1] où elle est morte le 30 mars 1842,

    était une peintre française

     

    Il a suffit d’une heure, d’un tendre bonheur,
    Pour que l’espace d’un instant, mon cœur,
    Se réveille au doux parfum du désir…
    Sur mes roses déposées en souvenir…

     
    Il a suffit d’une nuit, à l’abri,
    Pour que vive ce corps endolori,
    Se réveille et réclame, caresses,
    Sous des mains enveloppées de tendresse… 

    Vogue… vogue… cet amour qui vous prend,
    Au fil d’une eau limpide, une source
    De joie infinie, qui s’écoule doucement,
    Je me sens à l’aube, pleine de ressources !


    L’amour n’a point d’âge il se vit le jour,
    Il se perpétue la nuit et pour toujours !
    Il illumine les ténèbres, efface la peine,
    Il offre pour moi sa parure de reine…

     

    Tel ce doux parfum, il fend le vent,
    Pénètre les cœurs, doux égarement
     D’un instant… mais douce délectation !
    Quand les lèvres s’unissent de passion ! 

     
    Il a suffit d’une conversation,
    Pour que mon âme chante à l’unisson,
    Ce refrain… qui donne l’espoir d’une saison,
    Sur deux cœurs en réconciliation…


    Bercez moi mes rêves ! Apportez
    Les promesses de la brise ! Déposez
    Sur les lèvres de l’aimé ce baiser !
    Apaisez de désirs un cœur blessé… 


    Telle la messagère de l’amour,
    Je me présente à vous en ce jour,
    Humble devant vous…celui dont mon cœur,
    Mon âme, mon corps réclame ses faveurs ! 


    Chante… toi qui te croyais perdu !
    Car vois-tu, il n’y a point de vaincu…
    Au son de mon cœur qui cogne,
    Le bonheur se crie… fort, sans vergogne !

     

     

    Parfum de désirs sur ma vie,
    Telle une fontaine qui ne se tarie,
    Je puise à l’essence de mes désirs,
    Cet amour qui m’abreuve, doux… élixir !

     
    Volez dans ce ciel toujours plus haut !
    Volez… vers le soleil, mes fidèles oiseaux !
    Tels des messagers du vent, sifflez  

    Cet air qui transperce les rivages !
    Pour deux cœurs qui ont atteint les rivages…

     
    De l’Amour…
     
    CorpsRimes 

    Parfum de désirs00054472


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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