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    AlbertLynch The JollyBoat Large 

     Albert Lynch (Gleisweiller Allemagne, 26 septembre 1860 - Principauté de Monaco, 25 mars 1950) est un peintre dont la famille est originaire du Pérou.

     

     

    « Le souffle de la vie est dans le soleil et la main de la vie

    Est dans le vent… »

     

    (Khalil Gibran)

     

     

     

     

     

    Un nouveau jour se lève, au printemps d’une vie,

    Sur les flots, quelque part, un nouveau monde,

    Une terre où les rivages sont euphories !

    Où nos yeux s’enivrent de leurs beautés profondes !

     

     

    Il est des destinées où le cœur vous emporte,

    Très loin, par-delà les mers et vous réconforte !

    Alors… j’écoute le vent et sa complainte…

    Dans le murmure du soir, je n’ai aucune crainte…

     

     

    L’amour vous porte au-delà des horizons,

    Il abat les murs et leurs édifications,

    Il est un navire qui vogue au gré des saisons,

    Accoste loin de nos souvenirs, leurs déraisons !

     

     

    J’écoute le vent, dans la froideur des nuits,

    J’y contemple la lune, cet astre qui luit !

    Et je voyage sur le plus beau des navires !

    Dont le gouvernail, est cet Amour infini…

     

     

    J’irai embrasser tous mes rêves, engloutir

    Ce corps, cette âme, à la source des élixirs !

    Et sur le sable et l’écume de mes naufrages,

    Sur les sentiers de ma nuit, l’amour est ancrage !

     

     

    Le printemps de la vie est en moi, dans ce cœur,

    Loin des tourments du passé, loin de tout malheur !

    J’écoute la vie, dans l’antre de toutes nuits !

    Ta voix résonne en écho, sur les récifs de l’oubli !

     

     

    Il est un bateau qui vogue sur l’eau, vers l’île,

    Des splendeurs, l’ouvrage tissé d’une vie, de fils

    D’or et d’argent, dont les aurores, crépuscules,

    Sont la quête de l’âme, dans sa solitude !

     

     

    Alors…j’écoute le vent, chanter sa mélodie,

    Me guider vers les sillages de ta douleur,

    J’y ramasse les perles de rosée de tes pleurs,

    Et j’apaise tes maux, d’un baume infini…

     

     

    Il est une terre féconde, dont la source des eaux,

    Délivre de toutes les blessures et fardeaux,

    Mon navire n’a point de destination,

    Que celle d’accoster ton cœur et ses saisons…

     

     

    CorpsRimes

     

    Ecoute le vent00054472

     

     

     

     

     

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