• Berceuse pour un enfant

    Sleepsong - LULLABY from a Secret Garden

     

    Abbott Anderson Thayer (1849-1927)

    "Sleep"

     

    Abbott Handerson Thayer (né le 12 août 1849 à Boston – mort le 29 mai 1921 à Dublin, dans le New Hampshire) est un peintre américain. Il fut l'élève de Jean-Léon Gérôme de l'École des beaux-arts de Paris et devint un membre de la Society of American Artists (1879), de la National Academy of Design (1901), et de la Royal Academy of San Luca de Rome. Il est connu pour ses tableaux Les SœursVirgin EnthronedCaritasIn MemoriamRobert Louis Stevenson et Portrait of a Young Woman, ses portraits, ses paysages et ses représentations d'animaux.

    Durant le dernier tiers de sa vie, il a travaillé avec son fils Gerald Handerson Thayer sur un important livre sur le camouflage dans le monde naturel, Concealing-Coloration in the Animal Kingdom (en). Publié par Macmillan en 1909, cet ouvrage a été réimprimé en 1918 et a pu jouer un rôle sur la camouflage militaire durant la Première Guerre mondiale. Il a cependant été l'objet de nombreuses moqueries, notamment de la part de Theodore Roosevelt, pour son affirmation que toutes les couleurs des animaux ont un rôle de camouflage1. (Source wikipédia).

     

     A lire avec la chanson svp

     

     

     Dors mon enfant, mon cher petit trésor ;

    Envole-toi vers ce monde imaginaire,

    Bercé par ma douce voix qui t'endors ;

    Je veille sur toi par-delà tes mers,

    Dors mon enfant, un ange te protège,

    De ses ailes et son souffle solfège ;

     

    Ton petit corps, s'abandonne aux songes ;

    Près de toi, mes heures se prolongent... 

    Je te respire dans l'odeur de la nuit,

    Dépose, caresses, douceurs infinies ;

    La terre et le ciel, honore l'enfance,

    Dans une pluie d'étoiles qui dansent ; 

    Mon petit roi, ma flamme, qu'éclaire,

    Le tendre coeur et l'âme d'une mère ;

     

    Je chante l'amour et son innocence,

    Dors mon enfant, mon cher petit trésor ;

    Envole-toi vers ce monde imaginaire,

    Bercé par ma douce voix qui t'endors ;

    Je veille sur toi, par-delà tes mers ;

     

    Dors mon enfant, mon petit roi ;

    Ton rêve est aussi le mien,

    En cette heure unique, où la lune

    T'emmène vers ses rives lagunes ;

    Au creux de ton oreiller,

    Laisse ta tête se reposer,

    Douce nuit mon doux enfant,

    Je te protège, moi ta maman ;

    Envole-toi au pays des rêves,

    Sur ce navire où tes voiles se soulèvent...

     

    Dors mon enfant, dors.

    Dors mon enfant, dors.

    Dors mon enfant, dors,

    Au coeur de ta nuit, 

    Je veille sur toi.

    Au coeur de ta nuit,

    Je suis toujours là...

     

    CorpsRimes

    Fleurs des champs00054472-2-2 

     

    ********************

    "Bonne nuit,

    Cher trésor,

    Ferme tes yeux et dors.

    Laisse ta tête, s'envoler,

    Au creux de ton oreiller.

    Un beau rêve passera,

    Et tu l'attraperas.

    Un beau rêve passera,

     

    Et tu le retiendras".

    (Oeuvre pour piano, paroles de la

    "Berceuse de Johannes Brahms",l'une des berceuses,

    les plus célèbres de la musique classique).

      

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    « Soupirs d'une rose...Respire ! »
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  • Commentaires

    5
    Mercredi 31 Août 2022 à 15:32

    Beau poème sur l'amour maternel.

    4
    Lundi 18 Juillet 2022 à 00:04

    C'est tellement beau et magique!

    Instants de grâce et d'infinie douceur en un monde si souvent brutal et pétri d'injustices mais le coeur innocent, au sens littéral du terme, a de la force, bien plus qu'on ne le pense...

    Magique écrit ma chère Corinne, avec le plaisir de te retrouver en ces mots, ces idées que tu célèbres avec tant de talent...

    Magie oui, besoin de retrouver en nous l'enfant plein de vie, de créativité, de subtilité, délicieuse berceuse...

    Pensées pour toi, merci de ta venue et de ta rose qui jamais ne fane en amitié, gros bisous et tendresses partagées au jardin des petites fées...

    Cendrine

    • Voir les réponses
    3
    Vendredi 1er Juillet 2022 à 14:17
    Un bien charmant billet tout en douceur. Tellement heureuse de te lire et écouter à nouveau, chère Corinne
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