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(« Alice » Peinture de Henry Tanworth Wells)
Quel est ce charme, cet envoûtement,
Qui se reflète aux yeux, secrètement ?
Quel est ce ravissement si exquis,
Qui nous plonge aux portes de l’infini ?
Vers des terres mystérieuses, des contrées,
Où s’éveillent une fleur et ses secrets.
De la profondeur d’un regard, émane,
L’intensité d’une âme, d’une flamme !
Un désir, d’aller vers ces longs silences,
Où l’amour nous mène en attirance,
Les yeux y sondent, en leur profondeur,
La plénitude des océans douceurs…
Grâce divine ou simple magie,
Mirages de tous nos désirs enfouis,
Le parfum d’une âme ensevelie,
Le charme d’une muse, son effigie…
Pouvoir arrêter le temps, cet instant,
River nos yeux à l’émerveillement,
Vers ce refuge à nos abattements,
Aux rivages des doux enivrements,
Quel est ce charme, délicatement
Dévoilé, dans un regard langoureux ?
L’expression, tendre, des sentiments
Exprimés, en désirs si amoureux…
Au fond des yeux s’y lit, la volupté
Des souvenirs et des jours à aimer
Charme d’un moment, de contemplation,
Se miroite aux prunelles, en séduction
Quel est ce charme, cet envoûtement,
Qui se reflète aux yeux, secrètement ?
La beauté d’une âme souveraine,
Se peint au front noble d’une reine…
CorpsRimes
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