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Passion
Pietro Rotari ou Pietro Antonio Rotari (Vérone, 1707 - Saint-Pétersbourg, 1762) est un graveur et peintre italien
- Jeune Fille écrivant une lettre d'amour (1755),
J’aime composer lorsque la nuit tombe,
Des mots qui font rêver, d’humeurs vagabondes…
A l’heure où le soleil tire sa révérence,
Je vous offre cet amour en unique offrande…
Ma plume n’a point de secret au doux langage
Qu’est le verbe aimer, il est un doux breuvage,
Qui coule dans mes veines, un parfum de roses,
Qui enivre les sens, chasse les airs moroses !
Mes écrits sont le reflet de cette âme,
Ils éloignent toutes mes pensées infâmes…
A la lueur de mes chandelles, mes proses,
S’illuminent de cet amour que je crie et j’ose !
Un cœur à l’abandon… une âme mise à nue,
Devant vous je me sens plus que dévêtue…
Vous qui sondez mes mots, ma personnalité,
Percevez-vous toute ma fragilité ?
J’aime à penser, que votre cœur sincère,
Ne bat que pour celle qui vous vénère…
Dans la lumière du jour naissant, l’aurore,
Attise ce désir qui n’est point mort… dans ce corps…
Passion… dans l’antre de mes profonds sentiments,
Vous ignorez le feu de mes désirs ardents !
Une présence proche et si lointaine,
Font de ma demeure, unique souveraine…
J’aime composer ces rimes dans le silence
De mes nuits, où je prie pour cette absence…
Mais vous ne savez pas voir l’éclat de mes yeux,
Lorsque tout bas mon cœur vous fait ses aveux…
L’amour, le vrai, ne se vit qu’une seule fois…
Pour vous... je dépose en prose tous mes émois !
Mais saurez-vous voir dans la demeure de votre cœur,
Une rose épanouie à l’aube, mais qui la nuit se meure…
CorpsRimes
Tags : coeur, j’aime, nuit, amour, mots
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Commentaires
ta plume fait merveille !! tu mérites le prix exellence !! oui l'amour le vrai ne se vit qu'une fois !! je peux en témoigner !! j'ai perdu celle que j'aimais il y a 30 ans de cela !! aucune femmen'a pûprendre palce dans mon coeur depuis !! je l'aime et je l'aimerai jusque dans la mort !!
amitiés
sumadrad
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Un ruisseau brulant,sur ma joue,descendait,
pour que sous mon souffle,se brise la distance,
sur mes lèvres,ma prière se confondait,
avec les murmures de mes espérances..